Jour 16 – Et si nous prenions de la haute vers Denali?

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Parcours

Déplacement
Voiture
Distance
240 km
Durée
6 h 30
Météo
Légèrement couvert

La journée de la veille fut riche en émotions, il sera difficile d’égaler tant d’amour et de joie pour les prochaines étapes.

Mais nous allons faire de notre mieux et continuer à nous laisser bercer dans tant de bienveillance.

Aujourd’hui, nous quittons les routes, pour nous laisser bercer par le doux ronron d’un bus touristique, qui nous amènera à la découverte de la faune et la flore protégées du parc national de Denali.

Ce nom vous est inconnu? C’est possible, il s’appelait, il y a quelques années à peine (avant 2016) le parc Mc Kinley, surplombé du plus haut sommet, éponyme, de l’Amérique du Nord, à 6190m d’altitude.

L’itinéraire nous mènera durant tout l’après-midi jusqu’en soirée à travers le parc sur plus de 60 miles, environ 90 km (autant pour le retour!)

Profitant de la matinée pour se reposer dans cet écrin bucolique et romantique, nous nous mettons en route à l’heure de l’apéro. Arrivés sur place, une première mission est à accomplir, assurer l’endurance pour le reste de la journée. Pour cela, un seul remède, une bonne PIZZA!

Saumon (local!) pour monsieur et Jambon de Parme (italien!) pour Madame.

Repus, il nous fallait une activité en lien avec notre cycle de digestion. Comme nous avons encore un peu de temps avant de retrouver notre bus, nous profitons de visiter le centre d’informations qui expose également un musée soigneusement agencé, sur l’histoire de la faune, de la flore et comment le tourisme est arrivé jusqu’ici.

Un peu plus tard, le bus nous accueille, le chauffeur sera également notre guide et partagera avec toute sa sympathie ses anecdotes grugées depuis des années au volant de son bolide.
Pour nous permettre de survivre, après quelques informations sur les ceintures de sécurité, les voies de secours et les parachutes en cas de panne moteur, un coffret souvenir avec 3 chips, 2 cacahuètes et un cookie au chocolat nous sont offerts.

La première heure de route est encore accessible aux véhicules privés et autres RV (recreationnal vehicles, autre nom de camion de la mort qui tue qui t’offre un toit solide n’importe où à côté de ta tente ridicule de petit pecno). Cette partie du chemin est certes agréable mais n’offre rien de plus révolutionnaire que nous n’ayons pas déjà rencontré durant ces milliers de kilomètres arpentés à travers ces vastes terres.

La seconde partie de notre trajet se découvre après le passage d’un pont puis d’un col et nous dévoile une vallée totalement vierge arborées de couleurs verdoyantes et chatoyantes, écrin de présentation du sommet phare et star du moment, le Denali.

Les américains lui voueront toute la journée une admiration plus forte encore que pour leur ancien président. Sitôt que le petit pointait son nez à travers les nuages, il fallait impérativement arrêter le bus pour que ces fanatiques puissent frénétiquement observer le bolide à travers l’écran de leur objet de dépendance, avant de partager cela sur Facebook afin de générer plus de Like et de commentaires….
Tiens d’ailleurs, si tu aimes cette photo, ainsi que toutes les autres de ce site, n’hésite pas à liker partager et surtout, ne reviens pas sans l’apéro! 😉

Peut-être sommes nous « blasés » ou juste décalés de ces gens. Alors oui la montagne est belle et enneigée, mais nous en avons d’aussi belles par chez nous. Désolé les gars, c’est ptet un peu chauvin, mais la Dent Blanche EST et RESTERA la plus belle montagne au monde! Nous, on est juste là pour voir de la populace locale, de la faune, de la bestiole, de la bidoche que dis-je!

Fébriles à l’idée d’en croiser de partout, chacun a le regard scolairement portés sur la baie vitrée la plus proche de son regard. Le premier qui voit un animal et crie STOP est un champion, sauf s’il a confondu un tronc d’arbre avec une panthère… Le chauffeur ne manquera pas, avec beaucoup d’humour, de faire savoir que ce dernier se sera malencontreusement trompé, sous les rires de son auditoire.

De ci de là, nous apercevons quelques Caribous (Rennes!)

La route continue sur un paysage des plus majestueux, nous offrant d’une colline à l’autre une décoration florale chaque fois différente.
Nous rentrons ensuite dans un vallon plus serré, au sommet duquel se promènent un petit groupe de chèvres alpines, blanches. Arriverez-vous à les trouver sur la photo?

Allez, parce qu’on vous aime bien, on va vous aider un peu :

Inlassablement durant des kilomètres, nous sommes bercés par le ronron du moteur, les allégories du chauffeur et les soupirs d’admiration des autres visiteurs qui n’ont vraisemblablement pas vu de leur vie 3 brins d’herbe, 2 arbres et un truc dur et pointu qu’on appelle montagne…

Le véhicule nous offre différents arrêts permettant de faire quelques photos de beaux panoramas, découvrir certains de ces animaux croisés au détour d’un regard ou simplement soulager la vessie tendue de trop d’heures à rester assis.

Arrivés au bout du chemin, une sympathique rencontre s’offre à nous. Un renne se plaît à paître tranquillement à quelques encablures de nous, se prêtant volontiers à un rôle de modèle pour les photographes en herbe que nous sommes.

Avant de revenir sur nos pas, une dernière vue de ce petit coin de paradis s’impose.

L’heure est grave, tout le monde est fébrile. Cela fait déjà 2h30 que nous sommes en route, allons-nous enfin, sur le chemin du retour, pouvoir observer un spécimen d’ours?

Les paysages défilent devant nos yeux, ponctués quelques fois encore de quelques « STOP » fébriles d’observateurs n’ayant pas encore réussi à trouver du réseau pour poster une image bien nette d’une chèvre broutant de l’herbe ou d’un renne ressemblant trait pour trait à Rudolf, sans son nez rouge.

Nous voici bientôt revenus au portes de l’espace restreint du parc, quand retentit un énième « HALT » avec l’observation d’un nouveau compagnon.

En fait non, pas seulement un, mais deux copains orignal (ou orignaux?)… Pour être certain de ne pas faire de faute de français, on va dire que ce sont des Elans! voilà!

Cette image ravit Caro, qui n’avait pas encore pu en voir de ses yeux. Nous ne savions pas faire la différence entre un renne et un élan. Voilà qui est chose faite.

Le véhicule se remet en route vers la sortie.
Et toujours pas de signe de vie de l’ursidé.
Chacun s’applique à scrupuleusement scruter la moindre parcelle de forêt environnante. De bas en haut, la forêt est mise à nu, telle une femme dans les bras de son homme, avec l’espoir de découvrir enfin le bipède.

L’histoire n’aura malheureusement pas ce mot final. Winnie étant très pudique, il a préféré se rester prostré derrière un arbre à se goinfrer d’éclairs de miel.

Nous espérons qu’il n’en fera pas d’indigestion et rentrerons tout de même ravi de la beauté des découvertes du jour.

La galerie du jour

Jour 14 – Fairbanks par le sommet du monde!

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Parcours

Déplacement
Voiture
Distance
640 km
Durée
10 h 15
Météo
Grand beau

Bon, finalement… Le hasard et nous, c’est pas très compatible. Surtout que les conditions de vie, sans douche ni MacDo, ça n’est pas possible ni pour l’un ni pour l’autre.

Il est temps de voir plus loin, pourquoi pas Fairbanks. Le Canada, à nouveau, nous a montré ses limites… Alors que l’Alaska pourrait bien nous réserver encore quelques surprises…

Prenons un peu de hauteur par rapport à cette situation, le temps d’analyser un peu les tenant et aboutissant….
humm…
Oui!
C’est ça….

Top of the world! Il est temps pour nous de changer de point de vue et de nous rendre au sommet du monde!
Tiens, d’ailleurs au passage, si on passe par le Pôle Nord, demanda Caro, pourrions-nous faire un p’tit coucou au Père Noël?

Sitôt dit, sitôt fait. Nous prenons congé de notre confortable chambre et nous mettons en route.

Mais d’abord…

Chaque matin c’est le même dilemme…. Faut-il déjeuner, ou attendre midi pour se sustenter? Aujourd’hui, nouvelle formule, un petit taco nous permettra de tenir la journée!

Voilà qui est mieux, un petit café, une visite des lieux et nous voilà partis!

Enfin, pas trop longtemps…. Depuis là où nous sommes, nous devons traverser un fleuve, et malheureusement, les prospecteurs ont oublié de construire un pont…. A moins que ce ne soit exprès, pour que les gens du nord ne puissent pas arriver jusqu’à cet eldorado….

Du coup, les gens du nord ont été plus malins, et ont mis en place des ferry qui permettent de passer d’un côté à l’autre gratuitement…. On en vous cache pas que l’effet de traverser un fleuve puissant au volant du véhicule est très déroutant!

Au début, seuls les piétons pouvaient traverser… Mais gentiment les gens du nord ont également eu du succès dans leurs recherches.

Du coup, ils ont laissé le rafiot à la berge et ont commandé un ferry tout neuf pour faire passer les canassons (lasagnes) ainsi que les chariots à 4 roues débordant du précieux minerai.

La rivière est passée. Finalement, nous aurions pu passer ce petit pissot à gué…. pourquoi tant de complications…

Qu’à cela ne tienne. Aujourd’hui le but est de s’élever vers des cieux encore plus enrichissants….

Nous nous lançons sur une piste en terre avec la crainte de revivre encore une fois cet épisode des trampolines vers Tok. (Vous vous souvenez?)

Que neni! Bien que les routes ne soient pas bitumées, c’est un billard, une piste de compète! Chose plus surprenante encore, les routes ici, n’ont pas été tracées à flanc de côteau, mais bien au sommet des montagnes.

Flirtant d’une cime à l’autre la route nous guide à travers des panoramas plus époustouflants les uns que les autres. Plus près des cieux, nous sentons nos esprits s’apaiser de tous les tracas du quotidien. Ici, rien ne compte, tu es libre, roule, vis, prends du pays plein les bronches et apprécie!

Arrivés à l’apogée, il venait temps de faire une petite pause, déjà pour des obligations d’ordre logistique féminine, mais aussi pour manger une grande bouffée d’air et vous faire partager cet enivrant périple.

Ces lieux nous inspirent et nous apportent une grand bouffée d’oxygène. Autant vous l’avouer, malgré tous ces textes rêveurs et enchanteurs, une telle aventure confronte aussi nos deux acolytes dans leur vie de couple et dans leur vie quotidienne.

Livrés à eux-même, au milieu de nulle part, sans points de repère, et à l’aube d’une nouvelle aventure totalement méconnue qu’est la parentalité, leurs liens d’amour et leur façon de vivre sont mis à rude épreuve.

Mais aujourd’hui, plus près du ciel, toutes les difficultés semblent s’estomper. Au milieu du brouillard, il y a toujours un phare qui évite aux navire de chavirer, s’échouer et couler.

Pour nous, aujourd’hui, ce phare, c’est Elle + Lui, mais c’est aussi ce cocon d’Amour qui grandit en son ventre, et nous avions à coeur de l’immortaliser.

Reprenons la route, et emmenons-nous vers un périple toujours plus exaltant sur ces routes incroyables et improbables.

Une seule crainte, de réputation, si les pistes du Yukon sont en meilleur état que les routes d’Alaska, que trouverons-nous après la douane?

Eh bien…. du goudron! L’enfer est pavé de bonne intentions, mais le sommet du monde est goudronné! Accroche-toi petit Jésus, nous arrivons!!!

Après une trentaine de kilomètres, la route redescend, se muant en une piste de terre.

Celle-ci se retrouve fidèle à sa réputation…. Si les pistes du Yukon sont des pistes de billard, celle d’Alaska sont plutôt des pistes de rallye, réservées à l’élit(r)e.

Qu’à cela ne tienne, notre véhicule nous mènera à bon port et en toute sécurité, madame peut dormir tranquille.

Après avoir traverser maints sommets, redescendu plusieurs vallées et traversé quelques gorges, nous faisons halte dans un village fort sympathique, dont le nom est aussi le menu que Caro préfère commander dans son établissement préféré, l’auberge de l’arche dorée (MacDo……)

Eh oui… Nous voici arrivés à Chicken (pouds-laid), qui n’est apparemment pas un haut lieu de l’élevage de galinacées, mais dont les traces laissent imaginer une riche histoire de pionniers ayant fait bonne fortune.

Au vue, des moyens déployés, on comprend aisément que le résultat devait, à l’époque d’or de la région, être largement rentable.

Mais pas le temps de traîner, la route est encore très longue jusqu’à Fairbanks…. Et surtout, on est si proche des pôles, nous rêvons encore de pouvoir passer faire un coucou au Père Noël!

Hein? Père Noël??? Oui oui c’est bien cela!

Étonnamment, la route nous a menés jusqu’à sa porte!!!!!
Les plus réticents sont bien obligés d’y croire, nous avons trouvé la maison du Père Noël!!!!

Et pour preuve!!! Voyaez plutôt :

Malheureusement, la conversation fut très courte. Le Père Noël dut prendre congé de nous pour partir à l’apéro avec ses rennes, malgré l’offuscation de la Mère Noël.

Il nous fit un petit sourire gêné, en disant que Rudolf l’avait invité à une petite fête avec tous ses amis… Il avait même fait venir tout une équipe d’animaux depuis Whitehorse… ça ne se refuse pas….

Par contre, il nous a promis que nous pourrions nous revoir le lendemain….

Soit!

Nous prenons congé de lui et soupçonnons que ce Rudolf doit être un sacré fêtard… Tiens, d’ailleurs, son nom ne nous est pas inconnu….

Hésitant encore dans le menu du soir, notre choix s’est finalement porté sur un restaurant chinois, décevant…

L’estomac rempli, mais un peu déçus, nous nous rendons vers Fairbanks où nous attend notre chambre….

Là encore, tout un poème vaporeux…. Mais nous vous en dirons plus demain…

Il est tard et l’odeur tonitruante de la mariejeanne qui règne dans notre chambre notre pousse dans le pays des songes, où nous revivrons volontiers la somptueuse épopée de ce jour

La galerie du jour

Jour 11 – L’orage est passé, partons à l’aventure au Yukon Wildlife

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Parcours

Déplacement
Voiture
Distance
128 km
Durée
2 h 45
Météo
Ensoleillé

Le temps est au beau fixe, le nez, les bronches et le postérieur de madame aussi apparemment. Nous tentons une escapade sauvage hors du logement, lieu que j’avais repéré la veille, circuit en voiture facilement accessible.

Nous nous lançons dans une piste tout terrain, usuellement utilisée pour les campeurs (équipés d’une jeep, bien évidemment).

On peut constater que même dans ces terrains reculés, la folie humaine durant le lockdown aura eu des effets néfaste, tant et si bien que même dans ces endroits reculés de centaines de km de la dernière localité, les autorités ont dû mettre en place des interdictions.

Bien qu’ayant récupéré un peu de son état de santé, Caro se sentait un peu chancelante et me demanda de rentrer.

Après l’avoir déposée sous son duvet et tendrement embrassée au milieu du front, Chris reprit la route pour découvrir d’autres lieux insolites dont la présence n’est pas indiquée sur les cartes.

Sa route l’a conduit pour finir à Whitehorse, ou il se mit en tête de visiter en solitaire le fabuleux (selon les avis d’autres visiteurs) musée de Beringia, qui présente la faune, la flore et l’histoire locale, mais d’abord un petit arrêt au musée des transports s’impose.

La devanture est alléchante et il se réjouit à l’idée de découvrir les véhicules et moyens surdimensionnés utilisés par les pionnier pour explorer ces terres hostiles.

Hop, hop, hop….. Un instant, le téléphone sonne. Caro se sent en meilleure forme et aurait envie de découvrir le parc animalier du Yukon Wildlife Preserver qui se trouve…. à 200mètre de l’endroit ou nous vivons ces quelques jours.

Tant pis pour le musée, nous le ferons demain durant notre visite en ville et le wildlife ferme bientôt.

Sitôt dit, sitôt fait, nous voici dans ce parc naturel en extérieur, ou nous pourrons enfin découvrir tous ces ursidés, bovidés, capridés, canidés et autres animaux qui peuplent les monts et forêts avoisinnants, quelle bonnidé!

La trajet nous promène sur un merveilleux parc à l’état sauvage durant quelques 5km.

Après une brève rencontre lointaine avec les bisons, Caro souhaite faire connaissance avec les voisins direct de l’appartment, les cerf mulets, ou cerfs à queue noire.

Hé comment pétole?
Salut voising! Tu vas bieng? On se fait un cinquante-et-ung?

La visite se poursuit et ravit nos yeux et nos gambettes sur les presque 3h de visite. Nous espérions rencontrer également quelques orignaux, malheureusement.

Armés de notre sourire, d’un gâteau et d’une bonne bouteille, comme tout bon voisin, nous avons sonné à sa porte, regardé à travers le grillage, attendu longtemps dans l’espoir de le voir. Et lorsque nous l’avons appelé sur son portable (Eh ouais, ils sont modernes les élans, mais nous n’avons toujours pas compris comment ils font pour décrocher…) un message indiquait qu’il avait pris son élan était parti en piste dans la montagne de derrière chez son voisin le renne et qu’il serait absent pour la journée au moins….

Allons rencontrer d’autres résidents du quartier, notamment les petits chats sauvages (lynx), les canidés futés, qu’ils soient habillés pour les froids extrêmes ou qu’ils fassent brûler la viande sur le grill…. (renards polaires et renard rouge)

Là encore, ils ont eux aussi été invités chez le renne, Rudolf crois qu’il s’appelle… Mais quel festoyeur celui-ci…. Il a du succès avec toute la gente!

Nous avons questionné des spermophiles (écureuils) et quelques marmottes croisés en chemin. Eux aussi étaient désolé car comme nous, ils n’étaient pas invités.

Merci les chèvres blanches pour cette précieuse information grugée en chemin

Dommage! Caro s’occupera de la bouteille et Chris dégustera volontiers le cake…

L’aventure nous mènera gentiment vers la sortie où nous croisons encore quelques boeufs musqués qui faisaient la fête entre eux et n’ont même pas pris la délicatesse de nous saluer…

Eh bien, quel charmant voisinage. Nous allons donc rentrer à nos pénates et profiter d’une petite soirée en amoureux.

D’ailleurs, je crois que Madame commence à ressentir un peu les effets du froids, avec tous ces vents pris à rester devant les portes de nos voisins.

D’ailleurs, à la France qui joue à la télé, il ne faut à tout prix par rater cela!

Bon, ou vous laisse, on dirait bien que les frouziennes ont marqué le premier goal…

Belle soirée!

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